On lit assez facilement ce livre de 2005, écrit par un ancien journaliste scientifique, devenu DIR COM de Siemens France (2000-2007), qui a appuyé ses "prévisions" d'innovation sur des recherches et des interviews.
L'intérêt de ce livre, qui aborde plus d'une centaine de thèmes en 415 pages, est de faire un point rapide sur l'état des connaissances sur chaque thème au début des années 2000, d'expliquer en quelques phrases l'innovation, ses avantages et ses applications.
Bien sûr, tout ne se réalisera pas et le calendrier des innovations reste forcément imaginaire, mais cela permet au minimum de savoir sur quels projets travaillent des entreprises, des labos, des organismes. Dans certains cas, cet essai permet de se préparer à un certain type d'avenir, soit en tant que Société, soit en tant qu'individu.
Quelques exemples:
- Santé: pilule antivieillesse DHEA, contraceptifs par patch, anti sida, anti cancer, aliments transgéniques, sang artificiel, Alzheimer, greffe de membre synthétique, etc.
- Communication: téléphone portable dans conduit auditif, accès internet-tv-pc via lunettes 3 D, voiture à commande vocale, traduction simultanée via oreillette ( sans traducteur), vol supersonique commercial, voie d'autoroute sans "conducteur", etc
-Technologie carreau autonettoyant, péage électronique étendu
Le style "journalistique" totalement assumé, pour éveiller l'intérêt du lecteur, peut un peu lasser à la répétition, et rend plus difficile la séparation entre état des lieux, développements probables et hypothèses de fiction.
mercredi 26 mai 2010
vendredi 21 mai 2010
Jean-Hervé LORENZI et Alain VILLEMEUR - L'innovation au sein de la nouvelle croissance
En ces périodes d’incantation et de souhaits pour l’avenir, afin d’être à la fois plus original et plus concret pour notre avenir commun, j’ai lu « l’innovation au cœur de la nouvelle croissance » de Jean-Hervé LORENZI et d’Alain VILLEMEUR paru en mai 2009.
S’il en est encore besoin, cet ouvrage décrit l’importance de l’innovation (technologique) au service de la croissance économique et du bien être, et m’a réconcilié avec les TIC. (A la rencontre fortuite avec certaines personnes de ce secteur dans les années 2000, je leur trouvais plutôt des tics, mais je change depuis 2009).
Il remet aussi certaines idées en place : les Etats-Unis ne sont pas le paradis du libéralisme le plus dur et le plus pur. L’Europe n’est pas « foutue » malgré la mondialisation, la financiarisation et la récession. il existe des méthodes pour la France (et les autres pays) pour redevenir compétitif. La Corée du Sud a adopté une démarche public/privé qui, si elle n’est pas reproductible en l’état, donne des pistes intéressantes. La France et l’Europe ont très mal joué les TIC et d’autres secteurs anciennement couverts par un monopole, en favorisant pour ces derniers la concurrence comme objectif et non comme moyen et perdant ainsi un potentiel d’investissement et d’innovation.
Quelques mots-clés pour l’avenir plus radieux : une volonté stratégique et organisée à long terme d’un gouvernement, un véritable partenariat public-privé (et non pas une simple libéralisation /privatisation), notamment avec les Universités, des investissements forts en R&D dans des domaines porteurs et un outil industriel permettant des gains de productivité dans des secteurs où il peut y avoir des besoins et des attentes, donc une demande forte, , un accès et un attrait pour de nouveaux produits, car l’éducation et le pouvoir d’achat sont là, etc.. Tout ceci en tenant compte des enjeux écologiques et démographiques.
Sans perdre son jugement, car toute situation évolue et car le cas personnel de chacun n’est pas forcément en symbiose parfaite avec la macro-économie, ce livre donne cependant des axes pour celles et ceux en cours d’étude, de formation ou de reconversion, et pour celles et ceux qui doivent préparer l’avenir au sein de leur entreprise.
S’il en est encore besoin, cet ouvrage décrit l’importance de l’innovation (technologique) au service de la croissance économique et du bien être, et m’a réconcilié avec les TIC. (A la rencontre fortuite avec certaines personnes de ce secteur dans les années 2000, je leur trouvais plutôt des tics, mais je change depuis 2009).
Il remet aussi certaines idées en place : les Etats-Unis ne sont pas le paradis du libéralisme le plus dur et le plus pur. L’Europe n’est pas « foutue » malgré la mondialisation, la financiarisation et la récession. il existe des méthodes pour la France (et les autres pays) pour redevenir compétitif. La Corée du Sud a adopté une démarche public/privé qui, si elle n’est pas reproductible en l’état, donne des pistes intéressantes. La France et l’Europe ont très mal joué les TIC et d’autres secteurs anciennement couverts par un monopole, en favorisant pour ces derniers la concurrence comme objectif et non comme moyen et perdant ainsi un potentiel d’investissement et d’innovation.
Quelques mots-clés pour l’avenir plus radieux : une volonté stratégique et organisée à long terme d’un gouvernement, un véritable partenariat public-privé (et non pas une simple libéralisation /privatisation), notamment avec les Universités, des investissements forts en R&D dans des domaines porteurs et un outil industriel permettant des gains de productivité dans des secteurs où il peut y avoir des besoins et des attentes, donc une demande forte, , un accès et un attrait pour de nouveaux produits, car l’éducation et le pouvoir d’achat sont là, etc.. Tout ceci en tenant compte des enjeux écologiques et démographiques.
Sans perdre son jugement, car toute situation évolue et car le cas personnel de chacun n’est pas forcément en symbiose parfaite avec la macro-économie, ce livre donne cependant des axes pour celles et ceux en cours d’étude, de formation ou de reconversion, et pour celles et ceux qui doivent préparer l’avenir au sein de leur entreprise.
Hervé Bommelaer - Réseau
On a pu constater que certains réseaux "physiques" tombaient un peu facilement en panne en hiver en France: électricité, eau, téléphone, sncf, aviation, voire le gaz, etc.. Il ne manquait plus que les autoroutes pour compléter le tableau.
On a pu parler de réseaux "mythiques" avant l'hiver, capables de tout, voire de dépanner.
Sur la recommandation de certains, j'ai lu et résumé pour moi-même, le livre d'Hervé BOMMELAER sur la démarche réseau. Mes principales conclusions:
il s'agit d'une technique et d'une façon d'être et de procéder, pas d'une pratique sectaire ou religieuse, qui grandit un peu tout le monde quand bien appliquée, et peut être utilisée pour tout projet: recherche d'un job, mais aussi maintien de son job, pour les cadres mais aussi les non-cadres, aussi recherche d'un stage pour le fiston ou la fifille (ou par eux-mêmes), conduite d'un projet, même associatif ou caritatif; et ceci à quasiment tous âges.
même si le "premier cercle" (famille et amis proches) permet de démarrer la démarche, il n'est pas le plus important et le plus sollicité ensuite, pour rassurer certains
à une époque un peu dispersée et zappeuse, la démarche permet de se concentrer et d'être efficace pour soi et les autres.
Les librairies (et certaines bibliothèques) contiennent certainement plusieurs ouvrages sur le sujet. Celui-ci coûte 19 €.
Donc, jardinons nos réseaux cet hiver et ensuite, pour en récolter les fruits, même sans grosses légumes.
On a pu parler de réseaux "mythiques" avant l'hiver, capables de tout, voire de dépanner.
Sur la recommandation de certains, j'ai lu et résumé pour moi-même, le livre d'Hervé BOMMELAER sur la démarche réseau. Mes principales conclusions:
il s'agit d'une technique et d'une façon d'être et de procéder, pas d'une pratique sectaire ou religieuse, qui grandit un peu tout le monde quand bien appliquée, et peut être utilisée pour tout projet: recherche d'un job, mais aussi maintien de son job, pour les cadres mais aussi les non-cadres, aussi recherche d'un stage pour le fiston ou la fifille (ou par eux-mêmes), conduite d'un projet, même associatif ou caritatif; et ceci à quasiment tous âges.
même si le "premier cercle" (famille et amis proches) permet de démarrer la démarche, il n'est pas le plus important et le plus sollicité ensuite, pour rassurer certains
à une époque un peu dispersée et zappeuse, la démarche permet de se concentrer et d'être efficace pour soi et les autres.
Les librairies (et certaines bibliothèques) contiennent certainement plusieurs ouvrages sur le sujet. Celui-ci coûte 19 €.
Donc, jardinons nos réseaux cet hiver et ensuite, pour en récolter les fruits, même sans grosses légumes.
Jean Cottraux - Répétition des scénarios de vie
Plusieurs niveaux de lecture sont possibles: comment fonctionne/ comment écrire un scénario ou un roman, comment se sortir d'une situation personnelle ou professionnelle qui se répète, comment débloquer et se sortir de certaines impasses, comprendre le fonctionnement de certaines personnes de notre entourage privé et/ ou professionnel, etc.
Contrairement à certains livres de développement personnel, celui-ci n'est pas écrit par un "gourou" inspiré mais, à la fiabilité des recherches en psychologie et en psychiatrie près, est étayé par un psychiatre se référant à ses propres recherches et observations et celles d'autres chercheurs et cliniciens, références que j'ai gommées dans ce résumé, afin d'alléger .
Les maîtres mots restent le plus souvent: prendre conscience, analyser (seul et/ou avec une aide), développer des "stratégies" d'adaptation.
Contrairement à certains livres de développement personnel, celui-ci n'est pas écrit par un "gourou" inspiré mais, à la fiabilité des recherches en psychologie et en psychiatrie près, est étayé par un psychiatre se référant à ses propres recherches et observations et celles d'autres chercheurs et cliniciens, références que j'ai gommées dans ce résumé, afin d'alléger .
Les maîtres mots restent le plus souvent: prendre conscience, analyser (seul et/ou avec une aide), développer des "stratégies" d'adaptation.
Béatrice BRECHIGNAC - le Marketing des Services
J'ai lu avec grand intérêt « LE MARKETING DES SERVICES - du projet au plan marketing » de Béatrice Bréchignac –Roubaud 1998-2001 livre très pratique :
- qui s’adresse plutôt, d’un point de vue strict, à des managers d’entreprises de services B2B déjà existantes et cherchant à se structurer et améliorer leurs performances marketing, commerciales, générales ,
- mais présente de l’intérêt aussi : pour ceux intéressés au marketing industriel, à la gestion des services et des clients, à des projets de restructuration (hors finances) d’une entreprise etc.
Il fait des ponts intéressants entre marketing et qualité, gestion commerciale, stratégie, conduite de projets, etc. et est prêt à l’emploi. Il met en avant les ressemblances et les différences avec le marketing des produits de grande consommation, plus classique et plus généralisé.
Sa mise en œuvre suppose cependant un environnement suffisamment favorable en interne de l’entreprise et ne peut être conduite par une seule personne (travail d’équipe) ni en quelques jours (travail de recueil d’informations externes et internes, réunions, groupes, véritable projet, etc.).
Tony Buzan, Une tête bien faite, Mind Maps
Un ami m’avait (nous avait) fait découvrir avec bonheur les MIND MAPS il y a plus d’un an et demi, et je l’en remercie. Leur « inventeur », Tony Buzan, britannique né en 1942, a écrit plusieurs livres disponibles en France (et de diverses épaisseurs) sur le cerveau, l’apprentissage des connaissances, le travail intellectuel, etc.
Je vous recommande d’en lire un, suivant votre degré d’intérêt et d’utilisation potentielle. « Une tête bien faite » aux Editions d’Organisation (1984-2004) est un bon compromis. Pour bien comprendre le côté pratique et puissant, il faut visualiser les « planches », car un résumé "classique" ne serait pas suffisant.
L’intérêt : mémoriser un contenu (livre, exposé, rapport, conférence), retrouver et organiser ses pensées et connaissances sur un thème ou un problème (indépendamment d’un livre), animer une réunion de projet ou de résolution de problème. Et enfin, pour celles et ceux qui n’ont pas pris de manuels, de (gros) rapports ou des essais entre les mains depuis quelques temps (reprise d’une formation par exemple) : la méthode rend la difficulté nettement moins insurmontable.
Même si on ne retient pas ou on ne met pas tout en pratique et tout le temps, de belles perspectives de meilleure performance individuelle.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tony_Buzan
une présentation de certains des livres : http://ecolebibdoc.blogs.com/mindmapping/2005/05/guides_buzan.html
Je vous recommande d’en lire un, suivant votre degré d’intérêt et d’utilisation potentielle. « Une tête bien faite » aux Editions d’Organisation (1984-2004) est un bon compromis. Pour bien comprendre le côté pratique et puissant, il faut visualiser les « planches », car un résumé "classique" ne serait pas suffisant.
L’intérêt : mémoriser un contenu (livre, exposé, rapport, conférence), retrouver et organiser ses pensées et connaissances sur un thème ou un problème (indépendamment d’un livre), animer une réunion de projet ou de résolution de problème. Et enfin, pour celles et ceux qui n’ont pas pris de manuels, de (gros) rapports ou des essais entre les mains depuis quelques temps (reprise d’une formation par exemple) : la méthode rend la difficulté nettement moins insurmontable.
Même si on ne retient pas ou on ne met pas tout en pratique et tout le temps, de belles perspectives de meilleure performance individuelle.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tony_Buzan
une présentation de certains des livres : http://ecolebibdoc.blogs.com/mindmapping/2005/05/guides_buzan.html
Daniel GOLEMAN, Intelligence Emotionnelle 2
Les revers récents de certains hommes politiques et PDG montrent qu’ils ont des points d’amélioration, des « axes de progrès », dans leur comportement et leur rapport aux autres.
De même, certain(e)s d’entre nous ont été ou seront confronté(e)s à des situations qui ne sont plus gérables comme dans le passé, notamment dans la vie professionnelle et sociale.
J'ai lu « l’intelligence émotionnelle 2 » sous titre « cultiver ses émotions pour s’épanouir dans son travail » de Daniel GOLEMAN 1998. Ce livre de ce psychologue et journaliste américain, qui a eu un succès certain à sa sortie, mais dont les enseignements restent globalement tout à fait pertinents, donne un certain nombre de « clés » :
améliorer soi-même, éventuellement les autres, et nos rapports avec eux.
surtout donner plus d’atouts dans un monde occidental, dont la situation a bien changé en 10-15 ans, sans qu’on ne sache pas toujours comment « performer ».
Ce livre met surtout en évidence que la seule intelligence « rationnelle », les diplômes et l’expertise technique dans un secteur/métier ne suffisent pas ou plus.
L’intelligence émotionnelle ne consiste pas à passer son temps à pleurer, rire, aimer son prochain et faire du social. C’est posséder des compétences prises dans les champs suivants :
La conscience de soi
La maitrise de soi
La motivation personnelle
L’empathie
Les attitudes sociales
C’est un livre américain, donc traduit, d’il y a plus de 10 ans, écrit par un vulgarisateur s’appuyant sur des recherches propres, les études d’autres (universitaires, cabinets RH, organismes et entreprises, etc.) et des interviews, et ayant bien sûr une ligne directrice, donc tout n’est pas à prendre au pied de la lettre, mais il n’y a pas trop de feuilles à jeter, si on veut en récolter les fruits. Le bon côté de ce livre : il n’est trop tard pour personne pour en tenir compte (vendanges tardives possibles : l’intelligence émotionnelle se bonifie avec la maturité !).
Dans la Pièce Jointe, j’ai repris deux tableaux du livre en copier/ coller ; le tableau I résume assez bien les compétences émotionnelles (abrégées en CEM par moi), le tableau II résume les critères d’un plan de travail/d’apprentissage pour les acquérir/travailler
Il y a un « Intelligence Emotionnelle 1 » paru en 1995, que je n’ai pas lu ; voir Wikipedia, qui flingue un peu l’auteur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Intelligence_%C3%A9motionnelle ou http://membres.multimania.fr/evoluation/goleman.htm ou http://livre.fnac.com/a289795/Daniel-Goleman-L-intelligence-emotionnelle
Restant sur les fruits : l’amygdale (du mot latin d’origine grecque signifiant amande) est, selon l’auteur, le « siège » des émotions au niveau du cerveau ; cela n’a bien sûr que peu de rapport avec les amygdales situées entre palais et pharynx http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/amygdale-386.html dont l’ablation est parfois nécessaire en cas d’angines répétitives ; http://fr.wikipedia.org/wiki/Amygdale_(cerveau) . Donc enlever des amandes du palais, du cou haut n’a rien à avoir avec la suppression des émotions.
De même, certain(e)s d’entre nous ont été ou seront confronté(e)s à des situations qui ne sont plus gérables comme dans le passé, notamment dans la vie professionnelle et sociale.
J'ai lu « l’intelligence émotionnelle 2 » sous titre « cultiver ses émotions pour s’épanouir dans son travail » de Daniel GOLEMAN 1998. Ce livre de ce psychologue et journaliste américain, qui a eu un succès certain à sa sortie, mais dont les enseignements restent globalement tout à fait pertinents, donne un certain nombre de « clés » :
améliorer soi-même, éventuellement les autres, et nos rapports avec eux.
surtout donner plus d’atouts dans un monde occidental, dont la situation a bien changé en 10-15 ans, sans qu’on ne sache pas toujours comment « performer ».
Ce livre met surtout en évidence que la seule intelligence « rationnelle », les diplômes et l’expertise technique dans un secteur/métier ne suffisent pas ou plus.
L’intelligence émotionnelle ne consiste pas à passer son temps à pleurer, rire, aimer son prochain et faire du social. C’est posséder des compétences prises dans les champs suivants :
La conscience de soi
La maitrise de soi
La motivation personnelle
L’empathie
Les attitudes sociales
C’est un livre américain, donc traduit, d’il y a plus de 10 ans, écrit par un vulgarisateur s’appuyant sur des recherches propres, les études d’autres (universitaires, cabinets RH, organismes et entreprises, etc.) et des interviews, et ayant bien sûr une ligne directrice, donc tout n’est pas à prendre au pied de la lettre, mais il n’y a pas trop de feuilles à jeter, si on veut en récolter les fruits. Le bon côté de ce livre : il n’est trop tard pour personne pour en tenir compte (vendanges tardives possibles : l’intelligence émotionnelle se bonifie avec la maturité !).
Dans la Pièce Jointe, j’ai repris deux tableaux du livre en copier/ coller ; le tableau I résume assez bien les compétences émotionnelles (abrégées en CEM par moi), le tableau II résume les critères d’un plan de travail/d’apprentissage pour les acquérir/travailler
Il y a un « Intelligence Emotionnelle 1 » paru en 1995, que je n’ai pas lu ; voir Wikipedia, qui flingue un peu l’auteur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Intelligence_%C3%A9motionnelle ou http://membres.multimania.fr/evoluation/goleman.htm ou http://livre.fnac.com/a289795/Daniel-Goleman-L-intelligence-emotionnelle
Restant sur les fruits : l’amygdale (du mot latin d’origine grecque signifiant amande) est, selon l’auteur, le « siège » des émotions au niveau du cerveau ; cela n’a bien sûr que peu de rapport avec les amygdales situées entre palais et pharynx http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/amygdale-386.html dont l’ablation est parfois nécessaire en cas d’angines répétitives ; http://fr.wikipedia.org/wiki/Amygdale_(cerveau) . Donc enlever des amandes du palais, du cou haut n’a rien à avoir avec la suppression des émotions.
Robert Cialdini INFLUENCE et MANIPULATION
J'ai lu ave intérêt un livre de Robert CIALDINI, « INFLUENCE et MANIPULATION comprendre et maîtriser les mécanismes et les techniques de persuasion », dont chacun d’entre nous pourra tirer véritablement bénéfice, dans sa vie quotidienne professionnelle et privée.
L’auteur américain, Docteur en psychologie sociale, met effectivement au jour nos automatismes de comportement et nos obligations sociales qui, d’un côté, nous font gagner du temps et de l’énergie en temps normal, de l’autre nous rendent victimes parfois consentantes dans des schémas de vente, de sollicitation, de communication, de décision, etc. DONC DE MANIPULATION (typiquement faire acheter des produits, des services, voire des causes dont on n’avait vraiment pas besoin, ou pour lesquels on aurait donné moins). L’ouvrage, datant de 1984-1993 (édition US révisée) et republié en France en 2004, garde son actualité.
Chacun reconnaîtra notamment les techniques de vente par correspondance ou « directe », de démarchage à domicile, mais aussi de vente de biens importants (voiture, cuisine, etc.), voire celles des ONG et autres organisations caritatives, voire politiques, sans oublier le monde de la publicité.
CIALDINI donne aussi des clés pour s’en sortir (« comment dire non »), sans passer pour autant pour antipathique ou antisocial.
Bien sûr, vous pouvez vous-même aussi utiliser les techniques de persuasion et d’influence décrites, à dose homéopathique, à bon escient et pour des causes raisonnables et des objectifs avouables. Car la plupart des techniques font partie de la panoplie du vendeur et du communicant. Comme dans d’autres domaines, l’important c’est la dose et c’est le but !
Robert Cialdini INFLUENCE the Psychology of Influence / traduit en « Influence et Manipulation, comprendre et maîtriser les mécanismes et les techniques de persuasion »
Editions Générales First 1984-1993 traduit 2004 319 pages
Dr en psychologie sociale Univ Caroline du Nord et Univ of Columbia, enseignant Université d’Arizona Auteur. a étudié des manuels et stage de vente en porte à porte, en pub, etc
Chap 1 Les armes de l’influence
Chap 2 La réciprocité
Chap 3 engagement et cohérence
Chap 4 la preuve sociale
Chap 5 La sympathie
Chap 6 L’autorité
Chap 7 La rareté
Epilogue L’influence instantanée
L’auteur américain, Docteur en psychologie sociale, met effectivement au jour nos automatismes de comportement et nos obligations sociales qui, d’un côté, nous font gagner du temps et de l’énergie en temps normal, de l’autre nous rendent victimes parfois consentantes dans des schémas de vente, de sollicitation, de communication, de décision, etc. DONC DE MANIPULATION (typiquement faire acheter des produits, des services, voire des causes dont on n’avait vraiment pas besoin, ou pour lesquels on aurait donné moins). L’ouvrage, datant de 1984-1993 (édition US révisée) et republié en France en 2004, garde son actualité.
Chacun reconnaîtra notamment les techniques de vente par correspondance ou « directe », de démarchage à domicile, mais aussi de vente de biens importants (voiture, cuisine, etc.), voire celles des ONG et autres organisations caritatives, voire politiques, sans oublier le monde de la publicité.
CIALDINI donne aussi des clés pour s’en sortir (« comment dire non »), sans passer pour autant pour antipathique ou antisocial.
Bien sûr, vous pouvez vous-même aussi utiliser les techniques de persuasion et d’influence décrites, à dose homéopathique, à bon escient et pour des causes raisonnables et des objectifs avouables. Car la plupart des techniques font partie de la panoplie du vendeur et du communicant. Comme dans d’autres domaines, l’important c’est la dose et c’est le but !
Robert Cialdini INFLUENCE the Psychology of Influence / traduit en « Influence et Manipulation, comprendre et maîtriser les mécanismes et les techniques de persuasion »
Editions Générales First 1984-1993 traduit 2004 319 pages
Dr en psychologie sociale Univ Caroline du Nord et Univ of Columbia, enseignant Université d’Arizona Auteur. a étudié des manuels et stage de vente en porte à porte, en pub, etc
Chap 1 Les armes de l’influence
Chap 2 La réciprocité
Chap 3 engagement et cohérence
Chap 4 la preuve sociale
Chap 5 La sympathie
Chap 6 L’autorité
Chap 7 La rareté
Epilogue L’influence instantanée
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